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Journée d’étude 25 novembre

Co-organisateurs et responsables scientifiques :

Gilles BRACHOTTE & Pascal LARDELLIER,
Université de Bourgogne, laboratoire CIMEOS

 

Les technologies de l’information et de la communication (TIC), et plus spécifiquement la démocratisation des réseaux sociaux numériques (RSN), ont restructuré notre société. Les dispositifs sociotechniques comme Twitter, Facebook, Instagram et Tik Tok ont métamorphosé les relations sociales, notre rapport à l’altérité et au temps mais également à l’écosystème médiatique. On observe de façon parallèle et concomitante l’émergence de nouvelles formes de communication interpersonnelle et communautaire, de nouveaux types de relations (ou de nouvelles formes de «reliance») et in fine de nouveaux champs d’expression et de discussion. Toute la puissance de ces canaux de communication réside dans leur caractère à la fois participatif et réticulaire(ce sont à proprement parler des canaux de communication fonctionnant en réseau). Sur ces réseaux de communication on constate une libre circulation de la parole et la possibilité pour tout le monde de s’adresser «démocratiquement» à tout le monde. Les réseaux socio-numériques perturbent les repères en vigueur et accélèrent la diffusion « H24 » de l’information, «sans filtre», entre citoyens, groupes de pression, institutions, partis politiques et effervescences collectives diverses. La communication se renouvelle et se diffracte tout à la fois sur les réseaux numériques et dans les médias. Elle devient plus horizontale et les citoyens s’affranchissent des médias traditionnels,des experts institués et des garants intentionnels de la légitimité reconnus pour créer « des groupes d’appartenance » et d’échanges où la prise de parole et le débat public s’exercent en dehors de la sphère institutionnelle classique, sans régulation et sans contrôle apparents.

 

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Co-organisateurs et responsables scientifiques :

Gilles BRACHOTTE & Pascal LARDELLIER,
Université de Bourgogne, laboratoire CIMEOS

 

Les technologies de l’information et de la communication (TIC), et plus spécifiquement la démocratisation des réseaux sociaux numériques (RSN), ont restructuré notre société. Les dispositifs sociotechniques comme Twitter, Facebook, Instagram et Tik Tok ont métamorphosé les relations sociales, notre rapport à l’altérité et au temps mais également à l’écosystème médiatique. On observe de façon parallèle et concomitante l’émergence de nouvelles formes de communication interpersonnelle et communautaire, de nouveaux types de relations (ou de nouvelles formes de «reliance») et in fine de nouveaux champs d’expression et de discussion. Toute la puissance de ces canaux de communication réside dans leur caractère à la fois participatif et réticulaire(ce sont à proprement parler des canaux de communication fonctionnant en réseau). Sur ces réseaux de communication on constate une libre circulation de la parole et la possibilité pour tout le monde de s’adresser «démocratiquement» à tout le monde. Les réseaux socio-numériques perturbent les repères en vigueur et accélèrent la diffusion « H24 » de l’information, «sans filtre», entre citoyens, groupes de pression, institutions, partis politiques et effervescences collectives diverses. La communication se renouvelle et se diffracte tout à la fois sur les réseaux numériques et dans les médias. Elle devient plus horizontale et les citoyens s’affranchissent des médias traditionnels,des experts institués et des garants intentionnels de la légitimité reconnus pour créer « des groupes d’appartenance » et d’échanges où la prise de parole et le débat public s’exercent en dehors de la sphère institutionnelle classique, sans régulation et sans contrôle apparents.

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